vendredi 2 août 2013

Mon fils a été assassiné par Jamel Debbouze

LE RÉCIT INCROYABLE D’UNE FEMME MEURTRIE, PERSUADÉE QUE SON FILS A ÉTÉ TUÉ PAR JAMEL DEBBOUZE.
Voici les faits tels qu’elle les raconte :
Le 17 Janvier 1990, Jean Paul ADMETTE, fils de Michel et Marlène ADMETTE, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu’il cache dans sa poche.
« C’EST BIEN JAMEL DEBBOUZE QUI A POUSSÉ MON FILS SOUS LE TRAIN. »
Marlène Admette est catégorique : « C’est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils », annonce t-elle.
« J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train », ne cessera d’admettre Marlène Admette. « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui a poussé mon fils sur la voie ferrée.
C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de Saint Cyr l’École, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »
Toujours selon ses dires, Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu. La dame ajoute que Jamel n’aurait jamais dénié présenté ses excuses à la famille Admette.
Jamel était venu dans l’Île de la Réunion en janvier, à cette occasion les Admette ont rappelé à l’humoriste le passé, un passé que l’enfant de Trappes avait intérêt, semble-t-il, à dissimuler. Ses représentations ont donc été annulées pour cause de « maladie ».
« JE PEUX VOUS DONNER L’ADRESSE DE JAMEL À TRAPPES. C’ÉTAIT UN DÉLINQUANT, UN VOLEUR DE VOITURES. »
« Il n’est pas malade. Il a eu peur c’est pour cette raison qu’il n’est pas venu. Mais on ne lâchera pas. Il faut que la vérité éclate », conclut Michel. « Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l’adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant, comme un voleur de voiture, à Trappes. »
« Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 heures. Jamel était accompagné de deux autres personnes. Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé. Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. »
JAMEL, SON CRIME LUI AURAIT COÛTÉ SA MAIN
« On ne nous a rendu que le corps. Oui je c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée », dénonce Marlène.
Si par hasard cela pouvait être vrai, comment peut-il vivre avec ce poids sur la conscience ? En tout cas, il n’a pas encore démenti les dires de cette famille, dires qui commencent à faire le buzz sur la toile.

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